Lorsqu’on parcourt un site Internet, on pense en premier lieu au développement web qui a permis de créer et de mettre le site en ligne. Mais pour créer un site Internet captivant et agréable à parcourir, il faut faire appel à un web designer. On vous explique en détail à quoi servent le web design et le web designer pour la création d’un site Internet.
Le web design a pour but de créer pour l’internaute une interface web idéale et ergonomique.
Le web design désigne, dans la conception de site internet, la création et la mise en forme de toute la partie visible du site. C’est-à-dire :
L’objectif du web design c’est de sécuriser, de donner confiance et de conduire l’utilisateur à passer à l’action. Alors, il pourra, par exemple, acheter un produit, s’inscrire sur le site ou encore demander un devis.
Un web designer est la personne qui réalise le web design d’un site Internet ou d’une application web définis ci‑dessus.
En se basant sur des documents fondamentaux, comme un cahier des charges et une charte graphique, le web designer va concevoir des interfaces web.
Le web designer va, avant tout, mettre en avant le contenu d’un site internet ou d’une application grâce à :
Mais ce n’est pas tout : le champ de compétences du web designer se veut vaste afin de connaître toutes les contraintes et les subtilités du web.
Vous l’avez compris, le web designer s’occupe de la partie visuelle d’une interface. Pour ce faire, il doit maîtriser les points suivants :
Voici une liste de ce qu’un web designer doit penser à chaque création d’interface web. Ces 10 points sont les principaux et il faut savoir que chacun de ces points comporte des sous-points.
Il faut donc comprendre que la création d’interface n’est pas simple ni rapide à réaliser. Cela prend du temps de cerner le besoin des internautes en fonction du business à mettre en avant. C’est pourquoi il faut travailler avec une agence web ou un freelance expert.
Architecture du site | Il s'agit d'organiser toute la structure du site. | |
Liens | Il s'agit de relier les pages entre elles pour créer un maillage interne puissant. | |
Ordre de lecture | Pour mettre en avant le contenu important pour l'utilisateur afin qu'il le trouve rapidement | |
Fluidité de la navigation | Pour permettre à l'utilisateur de trouver ce qu'il recherche en moins de 3 clics. | |
Accessibilité | Il s'agit des bonnes pratiques à mettre en place pour rendre le site accessible à tout le monde y compris les personnes avec handicap. | |
Responsive web | Pour aider à la navigation sur tous les supports : grands écrans, ordinateur, tablette et mobile. | |
Interactivité du site | Il s'agit des interactions qu'il peut y avoir entre le site et l'utilisateur. Comme par exemple un élément qui bouge au passage de la souris. | |
Couleurs | Respect du contraste entre les couleurs des éléments du site, afin que chacun soit visible. | |
Typographies | Respect des typographies et travail sur leurs lisibilités. | |
Charte graphique | Respect de la charte graphique pour le choix des typographies, des couleurs et le design des illustrations. |
Voici deux exemples de réflexion autour de la création d’interfaces.
Dans la conception de ses pages, le web designer va se concentrer sur l’utilisateur et va faire en sorte qu’il puisse acheter un produit en le moins de clics possible. Cela passe par l’ajout de produits sur la page d’accueil du site e-commerce, avec un bouton « Ajouter au panier » sous les articles. Le produit sera ajouté directement au panier sans que l’utilisateur ait à passer par la page de détail du produit.
Tout cela dans le but d’augmenter le taux de conversion et les ventes.
Le but premier d’un site vitrine est de présenter une entreprise ou un produit. Dans cette démarche, le web designer va travailler l’interface pour qu’elle fasse passer un message compréhensible à l’utilisateur. Que ce soit pour transmettre un univers, des valeurs, des fonctionnalités ou l’histoire de l’entreprise.
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Avant d’expliquer ce qu’est l’UX, revenons sur un point important : le web design repose sur la satisfaction de l’utilisateur. Il est au centre de tout.
L’expérience utilisateur va donc contenir toutes les interactions possibles entre l’utilisateur et le site Internet. À savoir :
Pour être plus précis, l’expérience utilisateur doit permettre à un internaute de naviguer sur le site Internet sans rencontrer de blocage ; cela doit être intuitif et naturel. De plus, l’utilisateur doit trouver l’information facilement et rapidement. S’il ne comprend pas le site Internet ni comment y effectuer sa recherche, il partira. Ensuite, l’expérience utilisateur va permettre de diriger l’internaute vers des boutons d’action de manière fluide et instinctive, comme par exemple un bouton « inscription », accessible en un clic dans le menu en haut à droite. Pour finir, l’internaute doit être incité à rester sur le site même s’il a envie de partir. Le web designer peut alors concevoir des pop-ups pour y remédier.
Contrairement à l’expérience utilisateur, l’UI concerne l’aspect graphique du site ou de l’application. Ces deux fondements sont complémentaires pour apporter une satisfaction complète à l’utilisateur.
Dans l’interface utilisateur, le web designer va chercher à créer une identité visuelle du site impactante pour offrir à l’utilisateur une expérience mémorable. Il va donc travailler :
Avant de débuter la création d’interface, le web designer doit se poser des questions pour l’aider dans sa conception et bien comprendre quels sont les messages à faire passer.
La clé pour réussir le web design d'un site Internet ou d'une application, c’est l’ergonomie. Mais pas que ! Il faut aussi choisir un style graphique adapté à la cible et au secteur d’activité de la marque.
L’ergonomie consiste à créer ou à améliorer un objet pour qu’il soit plus facile à utiliser au quotidien. Et cette notion s’applique très bien sur le web ! On va donc chercher à répondre efficacement aux besoins d’un internaute.
L’ergonomie se base sur l’utilité d’un site, sa facilité d’utilisation, son design simple et compréhensible, et enfin la satisfaction de l’utilisateur.
Lorsqu’un web designer travaille sur les interfaces d’un site ou d’une application, il doit concevoir des interfaces ergonomiques.
Voici quelques points sur lesquels il va travailler.
On est d’accord qu’il faut du contenu sur une page, à la fois pour que l’utilisateur ne la trouve pas « vide », mais aussi pour le référencement naturel. Cependant, il ne faut pas trop en mettre au risque d’avoir un site surchargé. Le web designer va donc veiller à :
Petite astuce, pour dynamiser une page sans les surcharger visuellement, le web designer va proposer des animations SVG sur certains éléments visuels. Il s’agit par exemple de changer la couleur d’un bouton ou de faire bouger une illustration au passage de la souris.
Choisir une couleur n’est pas anodin. Les couleurs ont une signification et transmettent inconsciemment un message.
Par exemple, si vous souhaitez présenter et vendre un produit énergétique pour les sportifs, oubliez le vert et optez plutôt pour l’orange et le jaune. En effet, le vert désigne le bio, le naturel, le sain, alors que l’orange et le jaune signifient la vitalité, la force, le sport, l’énergie. Ainsi, lorsque l’utilisateur verra votre site, il comprendra que vous vendez un produit dynamisant et vitalisant pour le corps.
Le webdesigner gère aussi le contraste entre les couleurs, notamment entre le fond et le texte. Un exemple simple : sur un site avec un fond sombre comme le noir, le texte ne sera pas de couleur blanche, mais plutôt gris clair. Sinon, le contraste sera trop important et l’œil n’arrivera pas à lire. On aura l’impression que le texte bouge ou qu’il est flou.
Comme détaillé ci‑dessus, le web design doit mettre l’utilisateur au centre de toutes les actions du site. L’utilisateur doit pouvoir trouver l’information rapidement et en peu de clics. Pour aider la navigation, le web designer va ajouter au site :
Pour que le site soit lisible, les éléments des pages doivent être rangés et il doit y avoir une hiérarchie dans l’information délivrée. En effet, au premier regard, l’utilisateur doit pouvoir distinguer le titre principal, qui résume la page, du reste.
Ensuite, pour que le texte soit lisible, le webdesigner va veiller à choisir une typographie bien dessinée et claire. Le but est d’éviter d’avoir une police d’écriture illisible, car les caractères sont trop collés, trop gras ou trop manuscrits, par exemple.
De nos jours, beaucoup de sites Internet s’autorisent plus de modernité et de folie sur leurs pages. C’est très bien pour attirer le regard des utilisateurs, mais il faut tout de même faire attention à certains pièges.
Il ne s’agit pas à proprement parler de règles, mais plutôt d’habitudes qui se sont installées au cours des années. En effet, certaines pratiques sont ancrées dans les esprits et se font inconsciemment. Alors, pourquoi les changer ?
La plus classique est de mettre le logo d’un site internet en haut à gauche dans le menu et qu’un clic sur ce logo renvoie à la page d’accueil. Ensuite, l’utilisateur est habitué à voir les liens de couleur bleue et soulignés, ce qui lui indique qu’il peut cliquer. Si un texte n’est pas cliquable mais est souligné, l’utilisateur sera perdu car, par habitude, il voudra cliquer dessus. Enfin, on voit couramment le menu en haut du site internet ou, verticalement, sur la gauche. Eh bien, faisons ainsi ; sinon l’utilisateur cherchera le menu et va vite s’énerver de ne pas le trouver.
On est tous d’accord pour dire qu’avoir un beau site Internet ou application, c’est important et c’est la clé pour que les gens aient envie d’y revenir. Cependant, il est encore plus important d’avoir un site clair, lisible et compréhensible.
Le contenu visuel doit être présent pour aider à la compréhension des textes et non pour distraire le lecteur, de par sa taille ou son animation. Pour vous expliquer simplement, imaginez un site Internet qui a des animations sur chacun de ses blocs. Donc, pour une page avec 5 parties, il y a 5 animations. Qu’est-ce que cela va engendrer ? Tout d’abord, la page va être longue à charger et l’utilisateur va s’impatienter. Et ensuite, l’œil de l’utilisateur va instinctivement s’orienter vers ce qui bouge. Il ne va donc pas lire le texte. Ce qui est l’inverse de ce que l’on veut.
Tout d’abord, le référencement naturel ou SEO consiste à faire de multiples actions sur un site ou une application pour aider son référencement dans les moteurs de recherche. Concrètement, il s’agit de faire apparaître un site sur la première page des résultats de recherche de Google.
De plus, pour le référencement naturel, seuls les textes importent. Un moteur de recherche, comme Google par exemple, va scanner les pages d’un site internet afin de vérifier la pertinence des textes. Plus les textes sont pertinents et de qualité, mieux la page sera référencée. Il est donc clair que si vous mettez 80 % de visuel et 20 % de textes, le référencement sera nul et le site ne sera pas visible sur les moteurs de recherche, ce qui implique peu ou pas de trafic, peu de visibilité et donc peu de ventes.
L’expérience utilisateur permet, comme expliqué plus haut, à l’utilisateur d’utiliser le site agréablement et d’y naviguer simplement. Donc, si l’UX est négligée, l’utilisateur ne pourra pas profiter pleinement du site.
Prenons l’exemple du responsive mobile. Aujourd’hui, la navigation sur les sites Internet ne se fait pas uniquement sur ordinateur. 65 % des recherches sur le web en 2020 ont été effectuées sur mobile. Il ne faut donc pas négliger le responsive design.
À titre d’exemple, sur notre site, 20 % de nos utilisateurs consultent notre site Internet sur mobile. C’est pourquoi chacun de nos blocs de page a été pensé et développé pour être visible sur tous les écrans : ordinateur, tablette et mobile.
Comme son nom l’indique, les call-to-action, ou CTA, sont des boutons d’appel à l’action. En d’autres termes, ce sont des boutons qui vont inciter l’utilisateur à effectuer une action, comme remplir un formulaire de contact, s’abonner à une newsletter, ajouter un article au panier ou créer un compte.
Les boutons CTA doivent être bien placés sur le site : certains dans le menu — par exemple un bouton « Contact » ou « Inscription » — et d’autres dans le corps de la page.
Autant que leur emplacement, la couleur des CTA joue un rôle déterminant : en effet, comme nous l’avons vu plus haut, les couleurs ont une signification ; ainsi, si vous placez côte à côte un bouton rouge et un bouton bleu, l’utilisateur cliquera sur le rouge, son œil y étant attiré en priorité.
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Une identité visuelle regroupe l’ensemble des supports qui vont refléter une marque. Le logo, les cartes de visite ou encore les bannières de réseaux sociaux font partie de l’identité visuelle.
L’identité visuelle permet donc d’identifier une marque de ses concurrents. Dans notre quotidien, nous repérons des marques grâce à leur logo, leurs couleurs ou leur typographie, par exemple Netflix ou Starbucks.
Le logo reste la part la plus importante de l’identité visuelle, car il en constitue la base. Une identité visuelle se construit autour d’un logo.
Zoom sur le logo, ce petit élément graphique qui permet d’identifier une marque en un clin d’œil. Souvent vu comme deux ou trois coups de crayon, le logo demande énormément de réflexion et de recherche afin d’arriver à un résultat « wow ».
Voici un bref résumé des étapes de création d’un logo :
Cette étape consiste à réfléchir sur la marque, d'étudier la concurrence et de se poser des questions stratégiques sur la marque et sa cible. | |
Cette partie de recherche consiste à faire les premiers crayonner du logo : disposition des éléments, taille des éléments, choix de la typographie, etc. | |
Une fois la piste finale du logo trouvée, il est décliné en plusieurs couleurs, formes, texture. Il aura par exemple une déclinaison noir et blanc ou bien avec un fond uni ou à motif. | |
Selon l'utilisation du logo, différents formats seront utilisés. Comme par exemple le logo du site internet et le pictogramme du logo pour le favicon (vous savez, la petite image qui se trouve à côté du nom du site dans l'onglet de votre navigateur). | |
Cette dernière étape n'est pas systématiquement réalisée par le graphiste, c'est à la demande du client. Nous vous la détaillons juste en dessous. ↓ |
Ce qu’il faut savoir, c’est que le prix d’un logo n’est pas fixe. Il dépend de trois choses :
Selon l’enveloppe disponible pour créer le logo, il existe différentes options, plus ou moins professionnelles et de qualité. Pour connaître les différentes options disponibles en fonction d’un budget, consultez notre article qui vous explique tout en détail ! ⬇️
Tout comme les images, le logo peut s’exporter en différents formats selon son utilité. Le web designer utilisera le logo, ses couleurs et son éventuelle typographie dans ses interfaces afin d’harmoniser le site ou l’application. Il faut aussi savoir que le format d’une image influe sur son poids, et que ce poids influe sur le temps de chargement d’un site web. C’est pourquoi le web designer doit maîtriser tous les formats d’export d’une image, que ce soit un logo, une illustration ou une photographie. Il pourra ainsi utiliser le logo sous tous les formats suivants.
C’est le format classique d’une image. Cependant, il n’est pas recommandé pour le web, car une image peut vite être très lourde ; pour alléger son poids, on réduit drastiquement sa qualité. Mais si vous devez utiliser une photo prise avec un appareil photo, vous devrez utiliser ce format.
Le PNG a un atout : il prend en charge la transparence, c’est‑à‑dire que, si on ne veut pas de fond à son image, c’est possible. Même s’il est plus maniable que le JPG, ce format n’est pas le plus apprécié sur un site Internet.
Nous y voilà ! Ce format d’image développé par Google est parfait pour les sites Internet. C’est peut‑être d’ailleurs pour ça que c’est Google qui l’a créé, non ?
Dans l’étude sur la compression WebP de Google, on voit qu’une image WebP est 25–35 % plus petite qu’un JPEG et 26 % plus petite qu’un PNG.
Attention toutefois : certains navigateurs ne lisent pas ce type d’image.
Très bien connu des web designers, le SVG est un format d’image vectoriel très léger et compatible avec tous les navigateurs. De plus, un fichier SVG est facilement modifiable par un développeur dans un éditeur de texte ou par un web designer dans un logiciel graphique.
Le SVG est un format qui ne perd pas de qualité, qu’il soit de très petite ou de très grande taille. Il peut être étiré à l’infini sans perte de qualité.
Vous l’avez compris, le SVG est un format idéal pour le web, très prisé des web designers et des développeurs.
La charte graphique est l’un des documents fondateurs de votre communication et essentielle au travail du web designer. C’est un document qui énonce les droits et devoirs que chacun doit respecter. C’est donc à partir de ce document que le web designer va décliner l’identité visuelle sur ses interfaces.
Il existe deux types de chartes graphiques : la charte papier et la charte web. Ici, nous allons nous concentrer sur la charte graphique web, car c’est le rôle d’un web designer : soit de la construire, soit de la respecter. Je vous invite à lire notre article sur les chartes graphiques pour obtenir plus de détails sur la charte graphique papier.
La charte graphique web ou guide de style regroupe tous les éléments nécessaires à la création et au développement d’un site internet ou d’une application, comme :
En une phrase, une maquette permet de visualiser une idée. La maquette va permettre au web designer de se mettre à la place de l’utilisateur pour lui créer une navigation agréable et sans embûches.
Il ne faut pas se leurrer : au début, une maquette n’est ni plus ni moins que des carrés à côté de rectangles reliés par des flèches, le tout formant une page web ! Les maquettes sont essentielles pour mettre en place toute l’architecture du site et les bases de l’UX.
Parlons d’un portfolio web : vous savez, ce site internet qui présente les réalisations et le savoir‑faire d’un peintre, d’un designer ou d’un artisan. Eh bien, dans cet exemple de portfolio, vous verrez que réaliser une maquette est primordial pour mettre en avant une réalisation. En effet, la personne qui veut faire son portfolio va se dire : « Je veux présenter mon projet avec une galerie d’images, un titre percutant, une description du produit, un avis client et une vidéo. » Ok, la liste est longue — beaucoup trop longue pour se lancer comme ça ! Le web designer va alors construire une maquette en hiérarchisant les informations par ordre d’importance. Dans un premier temps : le titre, une brève description et une image pour capter l’attention. Ensuite, une description détaillée, un avis client et les médias.
Exemple clos, passons au concret !
Cette première étape consiste à faire un croquis de toutes les maquettes d’un site internet ou d’une application afin d’en dégager la structure. Dans cette structure, le web designer intègre les zones de texte, les boutons, les images, le menu. Et, si besoin, la recherche, l’espace utilisateur, la connexion, le panier.
Il n’est pas encore question de couleurs, de typographie ni de choix d’image.
À partir de cette étape, on visualise mieux le rendu final de la page. Tout simplement parce que les rectangles sont remplacés par du texte de substitution, des images libres de droits et des icônes. Les palettes de couleurs sont également mises en place.
Dernière étape de la conception : le prototype, ou maquette interactive. Comme son nom l’indique, la maquette interactive bouge ! Il s’agit de créer les liens entre les pages, de rendre les boutons cliquables et d’ajouter toutes les interactions possibles entre les éléments.
Le web design participe énormément au taux de rentabilité d’un e-commerce. En effet, plus l’e-commerce retient l’attention, est clair et simple, et plus le processus d’achat sera facile.
C’est logique : pour tout le monde, ce qui fait fonctionner un e‑commerce, c’est de vendre des produits. Et pour vendre des produits, il faut qu’ils soient mis en avant. Pour cela, il faut travailler les fiches produit. Vous savez : ce sont ces pages qui vont présenter un produit avec :
Si vous êtes intéressé par les fiches produit, on vous a concocté un listing de 20 exemples de fiches produit réussies. On y détaille les points forts et les points faibles.
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